Je rédige. Ha ha.


Après deux semaines de pur flemmardise, le retour en cours est fracassant. Oui, fracassant. Le lever à 6h du matin, c'est fatal. Littéralement. Imaginez donc commencer les cours avec Histoire Géographie, un des cours les plus soporifiques jamais inventé par l'éducation nationale. Non, je plaisante. (Je crois) Et après, comme si le créateur des emplois du temps voulait nous infliger une lourde peine, il nous donne deux heures de Français et, le clou du spectacle, on finit avec des Maths. Vous ai-je déjà dit que je détestais les Maths ? Mon orientation repose essentiellement sur le concept éviter-la-science-à-tout-prix. Mon cerveau se met en mode off lorsqu'il voit un f(x)=... . Fait hilarant, la plupart de mes amies sont de futures scientifiques. C'est assez blasant de voir qu'elles arrivent à comprendre l'algèbre lorsque nous, pauvres de nous, nous en sommes encore à l'étape calcul mental. Enfin, je m'arrête là.

Fait dramatique, je suis une élève qui n'aime plus les cours. (Oui c'est rare je sais). J'ai dit plus ? Parce qu'à une époque, l'école, c'était facile. Et pourquoi ? Parce que je voyais où était l'utilité de ce que j'apprenais. En Maths, vous n'êtes-vous jamais posé la question "Si je suis au supermarché et que j'hésite entre deux boîtes de conserve, en quoi le fait de connaître par coeur le théorème de Thalès va m'aider ?". Oui, je vous l'accorde, c'est une question très spécifique, mais remplacez la situation du supermarché par n'importe laquelle, normalement, ça marche.

Et là, après avoir eu l'énorme courage de lire ces deux paragraphes où j'exhibe mon délire personnel, vous vous demandez où est-ce que je veux en venir. Pour être honnête, j'en sais rien, j'ai juste voulu me défouler sur mon clavier (Christian, merci Chloé pour la blague). Vous avez pas compris la blague ? C'est pas grave.

Allez, sur ce, je vous laisse.
Pgm.