Partie 2 : Münster
Et on arrive à la deuxième partie de mon voyage express en Allemagne du Nord-Ouest, avec la ville de Münster (non, pas celle du fromage, j'ai failli me faire assassiner pour cette erreur). Et laissez-moi vous présenter cette ville-Disneyland qui vous redonnera foi en l'humanité.
Ici, on fait du vélo. Pour de vrai, comme des pros, dès 4 ans, sur des bicyclettes ultra-confort qu'on peut garer à peu près où on veut, étant donné qu'il y a des parkings à vélo absolument PARTOUT. Et quand je dis partout, c'est partout. Et on les voit, car ils sont plus blindés que la ligne 13 du métro parisien en heure de pointe. C'est un peu ça, chez les Westphaliens : le vélo, c'est une religion.
Deuxième remarque, c'est une ville à l'architecture irréprochable. Entendez-moi bien, d'habitude, je préfère les villes du type "vieille ville du sud aux rues pavées, étroites et escarpées qui mènent à la rivière du coin", qui pour moi ont une histoire beaucoup plus importante et intéressante (sans compter le soleil qui ajoute 1 000 points à l'équation). Mais là, j'étais sur les fesses. Les maisons ont presque toutes un style traditionnel, sans garder un aspect vieillissant qui se détériore au fur et à mesure des siècles. Tout ce qui est historique est parfaitement conservé, parfois mixé ingénieusement avec des structures visuellement plus modernes, mais le tout fait si bien que ça reste harmonieux. Et mon dieu, je n'ai jamais, au grand jamais, vu des rues aussi propres, des gens aussi heureux et respectueux de l'environnement.
Bref, la Westphalie, c'est une utopie sur terre.
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Ceci est la demeure de quelqu'un. Oui. Si si. |
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Les seuls tags de la ville. |
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Preuve n°1 de mes déclarations précédentes. |
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Preuve n°2 qui représente un euphémisme de la réalité. |
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Il était encore tôt pour avoir trop de monde. |
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Preuve n°3. |
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Preuve n°4 involontaire (comme quoi). |
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Preuve n° j'ai perdu le compte. |
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Badaboum-boum je vous achève. |